© Elisabeth Carecchio |
Vendredi 7 février à 21 h nous chausserons nos bottes pour nous rendre à cette pièce qui est une adaptation d’après le livre Walden ou la Vie dans les bois de Henry David Thoreau, un spectacle de Jean-François Peyret avec Clara Chabalier, Jos Houben, Victor Lenoble, Lyn Thibault, et en alternance Alexandros Markeas et Alvise Sinivia (piano)
En juillet 1845, Henry David Thoreau, âgé de 27 ans, construit de ses mains une cabane, au bord de l’étang de Walden, dans le Massachusetts. Il y séjourne solitaire deux ans et deux mois. Redevenu “hôte de la vie civilisée”, il passe 7 ans à écrire le chef-d’œuvre inspiré par cette expérience : Walden ou la Vie dans les bois, qui deviendra un des bréviaires de ceux qui rêvent de réinventer l’homme au contact de la nature. Entouré de comédiens, d’un musicien, d’un scénographe sonore et d’un vidéaste, Jean-François Peyret fait de cette vie d’écriture face à l’eau, face aux arbres, un singulier paysage théâtral. | |
Le thème de ce spectacle semblait pourtant très intéressant. Mais je n'ai pas du tout aimé le spectacle lui-même.
RépondreSupprimerIl n'y avait presque pas d'actions. Il y avait seulement des phrases déclamées plusieurs fois par différents comédiens, en français et en anglais. Toujours les mêmes phrases étaient affichées sur un écran.
Les effets spéciaux étaient malgrè tout intéressants : des mots qui se suspendent à une canne à pêche, un piano qui s'emballe tout seul, des phrases écritent en forme d'arbres...
Si vous aimé les effets spéciaux, allez le voir. Mais si vous voulez une histoire, restez chez vous car il n'y en a pas.
Une pièce décevante. Plateau presque nu, des pianos côté jardin, un étalage d'écran allumé dans l'espace frontière de la scène et de la salle présupposant un dialogue entre les technologies et le plateau. La première partie une dizaine de personnes craquent, sous le psittacisme des coups de pianos. Il faut tenir bon. Tout est déconstruit, instable dans le texte ce qui ne gêne pas en soi, mais une sensation de non aboutissement et une grande fatuité en découle. Les effets technologiques sont déjà dépassés depuis longtemps. Pourquoi envahir la boîte noire de ce cyber monde ? Quel en est l'intérêt? Cela déconstruit le discours et le rend artificiel. Bref on s'ennuie...
RépondreSupprimerTrès déçue par cette pièce de théâtre. Enfin pièce de théâtre n'est pas vraiment le bon terme pour cette représentation. Il s'agissait plus d'un récital de textes énoncés à la volée sans vraiment de sens. Je suis incapable de vous relater l'histoire énoncée. Aucune d'interprétation de la part des comédiens.
RépondreSupprimerEnnuyant.
La seule partie intéressante était le piano les 30 premières minutes, mais si vous rechercher ça allez plutôt à un concert.