Créée en 2007, la compagnie Déclic et des Clac ! est unetroupe dethéâtre amateur basée à Puteaux (92).
14.3.11
La Célestine
Nous voilà partis pour le XVe siècle, ce mercredi 16 mars à 20h au théâtre Nanterre-Amandiers, avec une vieille entremetteuse espagnole nommée La Célestine qui fera se déchainer les passions...
Une pièce ambitieuse et très intéressante, portée par une Hélène Vincent au summum. Malheureusement, quand elle disparaît de la pièce lors de la seconde partie, l'oeuvre perd aussi son souffle. Dommage !
Une mise en scène sobre où la parole est mise en valeur. La pièce semble souffrir du manque d'énergie en seconde partie car malheureusement une fois que la Célestine meurt, portée avec une belle énergie de la part d'Hélène Vincent, le spectateur tend à somnoler (le discours final du père est trop long). Une remarque: Pourquoi montre-t-on une poitrine des plus opulente d'une actrice et non le sang qui coule de la Célestine. Le siècle d'or associait les deux dans la mise en scène eros et thanatos... Peut-être un peu trop sage... Montrer un corps nu devient malheureusement des plus à la mode sur scène depuis quelques années, mais cela sert-il vraiment la pièce ?
Une heureuse surprise pour cette comédie de moeurs (qui n'ont pas bien changé en 600 ans!) dont le texte a bien été remis au goût du jour et pour l'énergie des acteurs qui tient le spectateur en éveil jusqu'au bout...presque jusqu'au bout...Enfin chapeau à Hélène Vincent pour sa prestation!
Que de choses racontée sur cette scène complètement nue... Et pourtant plusieurs lieux y sont représentés. Une belle dynamique apportait notament par une GRANDE Célestine. Petit bémole: Je ne sais si c'est le manque de confort des fauteuils, l'heure tardive, la journée de boulot ou la longeur de la pièce mais j'ai trouvé que la fin se faisait attendre surtout qu'elle était attendue. Nous sommes quand même dans une tragédie! A voir mais quand on est bien reposé.
Une pièce ambitieuse et très intéressante, portée par une Hélène Vincent au summum. Malheureusement, quand elle disparaît de la pièce lors de la seconde partie, l'oeuvre perd aussi son souffle. Dommage !
RépondreSupprimerUne mise en scène sobre où la parole est mise en valeur. La pièce semble souffrir du manque d'énergie en seconde partie car malheureusement une fois que la Célestine meurt, portée avec une belle énergie de la part d'Hélène Vincent, le spectateur tend à somnoler (le discours final du père est trop long). Une remarque: Pourquoi montre-t-on une poitrine des plus opulente d'une actrice et non le sang qui coule de la Célestine. Le siècle d'or associait les deux dans la mise en scène eros et thanatos... Peut-être un peu trop sage... Montrer un corps nu devient malheureusement des plus à la mode sur scène depuis quelques années, mais cela sert-il vraiment la pièce ?
RépondreSupprimerUne heureuse surprise pour cette comédie de moeurs (qui n'ont pas bien changé en 600 ans!) dont le texte a bien été remis au goût du jour et pour l'énergie des acteurs qui tient le spectateur en éveil jusqu'au bout...presque jusqu'au bout...Enfin chapeau à Hélène Vincent pour sa prestation!
RépondreSupprimerQue de choses racontée sur cette scène complètement nue... Et pourtant plusieurs lieux y sont représentés.
RépondreSupprimerUne belle dynamique apportait notament par une GRANDE Célestine.
Petit bémole: Je ne sais si c'est le manque de confort des fauteuils, l'heure tardive, la journée de boulot ou la longeur de la pièce mais j'ai trouvé que la fin se faisait attendre surtout qu'elle était attendue. Nous sommes quand même dans une tragédie!
A voir mais quand on est bien reposé.